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>>> Dans le silence du Vendredi Saint,
l’eucharistie n’est pas célébrée, car le Christ descend dans la mort, il est
aux enfers. Sur terre, c’est la douleur, mais aux enfers c’est déjà Pâques. La
puissance du Ressuscité dissipe les ténèbres au royaume de la mort. Au centre de la fresque bondit
le Christ foudre. La violence libératrice est signifiée par son manteau
flottant et la mandorle parsemée d’étoiles brillantes et traversée de son
rayonnement. Mais c’est une violence parfaitement maîtrisée : son visage
est comme immobilisé par l’infini de sa tendresse. Le Christ est en habits de
roi et de Seigneur, mais son seul pouvoir est celui de l’Amour crucifié.
D’un
puissant mouvement des mains, il arrache aux enfers Adam et Eve éperdus. Saint
Ephrem écrit dans une hymne : « Celui qui a dit à Adam ‘Où es-tu ?’ est monté
sur la croix pour chercher celui qui était perdu. Il est descendu aux enfers en
disant : viens donc mon image et ma ressemblance. »
Abbé C-A Sohier
.
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