Source : http://jerusalem.cef.fr/
Tout se noue autour de l’événement que l’on a coutume d’appeler
«l’assemblée de Jérusalem» – ou même parfois, un peu abusivement, «le concile de
Jérusalem» –, qui rassemble ces deux grandes figures, et bien d’autres, pour
examiner une question, pour nous tout à fait dépassée dans son objet immédiat –
faut-il ou non que les convertis venus du paganisme passent par la circoncision
? –, mais dont l’enjeu se révèle crucial pour l’avenir de l’Église : faut-il, en
effet, pour suivre Celui qui est venu accomplir la Loi et non l’abolir, en
conserver toutes les prescriptions ? ou ne faut-il pas plutôt n’obéir qu’au
commandement nouveau de l’amour qui résume toute la Loi ? À travers les discours
de Pierre, puis de Jacques, c’est l’ouverture même de l’Église qui se joue :
ouverture du peuple élu aux nations païennes, ouverture des communautés
organisées à l’étranger, ouverture de chacun à la nouveauté de l’Esprit. Lire la suite
>>> Prenez un peu de temps pour lire la suite de cet étude :
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