
Seigneur,tu me sondes et tu me connais.
Tu sais quand je m’assieds. Tu sais quand je me lève,
Tu pénètres de loin toutes mes pensées.
Tu sais quand je marche .Tu sais quand je me couche,
Tu pénètres toutes mes voies.
La parole est à peine sur ma langue…
Que déjà Seigneur! Tu la connais… entièrement…
Partout tu me protèges : devant, derrière, sur les côtés…
Ta main, Seigneur, est posée sur moi!
Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée !
Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir !
Ou irai-je loin de ton esprit ?
Ou fuirai-je loin de ta face ?
A propos de ce psaume :
Ici, le psalmiste traduit l’omniprésence de Dieu dans sa vie. « Que je marche, dorme ou me lève, tu le sais ». Loin d’être pesante, cette proximité est vécue comme rassurante, protectrice, enveloppante «devant, derrière, sur les côtés … ta main est posée sur moi »
Ce cœur à cœur avec le Créateur, cette présence –amour, l’émerveille : son Dieu se fait Vivant en lui, le connait, l’habite, pénètre sa pensée, ses projets, devance sa parole…
Le psalmiste avoue sa petitesse devant l’épaisseur du mystère d’amour qui l’unit à son Dieu. Alors, il s’exclame dans un acte de louange « Une science aussi merveilleuse, me dépasse...elle n’est pas à ma portée ! »
Et toi Pasto, laisse là, tes écouteurs, tes jeux vidéo…écoute… les pas du Seigneur vers toi… Ecoute en toi … son souffle : Le Seigneur Dieu, ton Père, ton Créateur, a établi sa demeure en toi. Comme au psalmiste ici, il t’est donné de goûter à sa présence dans ta vie..
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